
Dans l'atelier du peintre
Extraits de « Le monde commence aujourd'hui », Éditions de la Table ronde, 1959. Jacques Lusseyran raconte sa rencontre avec Jean Hélion.
Extraits de « Le monde commence aujourd'hui », Éditions de la Table ronde, 1959. Jacques Lusseyran raconte sa rencontre avec Jean Hélion.
Le 30 mars 2025 marquera le centenaire de la mort de Rudolf Steiner. L’initiative « Danke, Rudi ! », invite les institutions anthroposophiques à s’ouvrir, se faire connaître et dissiper les idées reçues, tout en transmettant avec gratitude les impulsions porteuses des 100 prochaines années.
Marquée par d'immenses épreuves et une résilience exceptionnelle, la vie de Jacques Lusseyran l’a conduit à sonder les profondeurs de son être et à exprimer l’universel à travers le singulier. Antoine Dodrimont retrace son fascinant parcours.
Pourquoi percevons-nous nos sociétés comme divisées ? Claudine Nierth, membre de Mehr Demokratie, défend depuis des décennies une démocratie directe et voit la crise actuelle comme un appel au changement intérieur et politique.
Quelle fut la position des médecins anthroposophes sous le régime nazi et sa « nouvelle médecine allemande » ? Partenaires, profiteurs ou opposants face aux stérilisations forcées, exclusions, euthanasies et diktats de la « santé publique » ? Une réflexion sur leur rôle dans ce contexte tragique.
Si Jacques Lusseyran devint écrivain, ce fut grâce à celui qu'il considérait comme son maître et qui l'incita à prendre la plume : Georges Saint-Bonnet. Quelle était la nature de leur relation maître-élève et comment a-t-il perçu ce personnage énigmatique ?
Le congrès « La terre est un être vivant » (5-8 février 2025) invite paysans, jardiniers et producteurs à réfléchir à la ferme biodynamique comme organisme vivant et à son lien avec un organisme plus vaste. Ce sera la troisième étape d’une réflexion au long terme autour du travail biodynamique.
En juin 2024 au Goetheanum, une lecture scénique musicale du livre "Et la lumière fut" a eu lieu, avec Richard Schnell et Fritz Nagel, accompagnée d'une sculpture de Barbara Schnetzler. Une spectatrice relate cette expérience de six heures, emplie de la présence de Lusseyran.
Écrire des histoires pour les autres peut guérir les autres… et nous-mêmes ! Ce texte est une réflexion écrite sur la conférence donnée par Gleice da Silva le 3 octobre 2024 au Goetheanum lors de la Journée anniversaire du développement social inclusif.