Un livre blanc pour la médecine anthroposophique
Souvent malmenée, la médecine anthroposophique devrait jouir d’une meilleure reconnaissance en France, plaident plusieurs associations de médecins dans un Livre blanc paru en France en août 2020.
Souvent malmenée, la médecine anthroposophique devrait jouir d’une meilleure reconnaissance en France, plaident plusieurs associations de médecins dans un Livre blanc paru en France en août 2020.
Le réchauffement climatique s’accompagne d’un refroidissement du climat politique et social. Reconnaître que la clé du changement se trouve dans un changement de conscience conduit à la dimension intérieure de cette grande question du 21e siècle. Un livre de Stefan Ruf.
L’anthroposophie se présente comme une science de l’esprit. Comment comprendre ce qualificatif de « science » ? Beaucoup pensent qu'il s'agit d'une croyance et la qualifie de pseudo-science. Alors que penser ? Éclairage.
Il existe une couverture du magazine Demeter de 1939 où l’on peut voir Hitler avec des enfants et une légende: « Le 20 avril, le Führer fêtait son 50e anniversaire. » Cette couverture est à juste titre choquante, surtout lorsqu’on sait à quel point l’anthroposophie et le nazisme s’opposent.
Une incompréhension courante vis-à-vis de l’œuvre de Rudolf Steiner concerne la signification du mot « esprit ». Wolfgang Schad éclaire le concept et aide à se former une représentation plus réaliste de l’esprit dans son livre Rudolf Steiner et sa relation à la science (Éditions Triades, 2016) dont nous publions...
Une reflexion sur la technique, sur ses ombres et ses lumières, tirées de l'ouvrage « Prendre le risque de l’autre. L’émergence de l’hospitalité » paru aux éditions Triades.
Ce texte de Rudolf Steiner est paru en 1902 en allemand à été traduit en 1906 par Édouard Schuré. L’auteur n’y approche pas les Évangiles du point de vue scientifique-historique ou théologique, mais avec une démarche mystique ou ésotérique, c’est-à-dire du point de vue de l’expérience intérieure.
En devenant pierre obsidienne, la lave volcanique ardente transforme l’énergie extérieure en énergie intérieure, le chaud en froid, la lumière en ténèbres. Dans son livre « Obsidiana », Jean-Michel Othoniel raconte de la mise en situation de ses sculptures au Goetheanum.