La fin de la ligne du temps
L'être humain n'est pas une « partie » de la nature privée de volonté, il est son partenaire. Nous disposons d'une conscience et l'avenir de la Terre dépend de nous.
L'être humain n'est pas une « partie » de la nature privée de volonté, il est son partenaire. Nous disposons d'une conscience et l'avenir de la Terre dépend de nous.
L'homéopathie fait débat, même en Allemagne, où elle est née. Certains considèrent qu'elle apporte une aide essentielle, d'autres contestent son utilité. Un petit éclairage.
Par une approche holistique, la Terre peut être étudiée comme un organisme vivant. En percevant cette vie de la biosphère, l'être humain en tire une nouvelle conscience et peut envisager son rapport à la Terre d'un point de vue thérapeutique.
Comment se construit la personnalité ? Comme le système immunitaire ! C'est la thèse du pédiatre anthroposophe Georg Soldner qui déchiffre le développement de l'être humain par une observation phénoménologique.
La conception « matérialiste néodarwinienne » de la nature serait-elle « fausse » ? C’est la question que pose le philosophe américain Thomas Nagel dans un petit livre intitulé L’esprit et le cosmos, paru en français en 2018. Sa réponse est : « très probablement ».
Les phénomènes naturels ne cessent de nous étonner. Certaines créatures peuvent même remettre en question nos préjugés les plus tenaces. C'est le cas du blob.
La perception des réalités architecturales exige de l’empathie, de même qu’une architecture empathique stimule à son tour la faculté d’empathie. Ce point de vue peut être étayé grâce à la recherche sur les neurones miroirs, vulgarisée dans les années 1990.
Dans une étude, parue dans la revue Scientific Reports de février 2019, les chercheurs constatent de moindres émissions de protoxyde d’azote par les sols en culture biologique et en particulier ceux cultivés en biodynamie.
Pour rendre justice à la diversité des approches thérapeutiques, la médecine doit élargir ses concepts, ses méthodes et ses fondements scientifiques. Les polémiques autour des médecines complémentaires, notamment de l’homéopathie, montrent les craintes que suscite cette réforme, pourtant nécessaire.